lundi 17 mai 2010

I believe in fairies

Cher journal

Il est 3h56 et je ne trouve pas le sommeil. Ce film a éveillé en moi des craintes endormies. Oh.. je sais.. elles ne dorment jamais vraiment avec moi. Mais je me suis surprise à pleurer encore plus fort une fois le générique terminé. The end. Et pourtant, un torrent de larmes qui n'en finissent plus de rouler sur mes joues.
Je tremble. L'amour me fait peur. Je ne me sens pas capable de porter sur mes épaules le poids d'une émotion si forte, d'une douleur si grande. Dépendre d'un être, être le tout d'une vie. En serais-je un jour capable? Se trouve-t-il sur mon chemin, un peu plus en avant? La vie sera-t-elle assez clémente? Me laissera-t-elle le temps et la chance d'arriver jusqu'à ce point où le bonheur m'attend? M'attend-t-il seulement?

Je me demande.. peut-on vivre et mourir sans jamais avoir aimé?

Picture from The notebook

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